Article rédigé par : Clarisse, Cyril, Mélanie, et Trystan

Nous avons pris l’ascenseur pour aller au 6e étage de la bibliothèque des Champs Libres.

Ensuite une dame, Anne, nous a présenté des livres très différents de la bibliothèque.

On a vu la place Charles De Gaulle car il y avait des vitres tout autour de la pièce et on a vu des monuments et on a vu des personnes toutes petites en bas dans la rue.

Le plus petit livre de la bibliothèque
Le plus grand livre de la bibliothèque
Ce livre est écrit en français et en braille (une langue écrite en relief pour les aveugles, inventée par Louis Braille).
Ce livre est conçu comme les poupées russes, et après il y a des étiquettes dedans pour lire l’histoire : une histoire de poupées russes !

Il y avait aussi des « flip-books » : il faut tourner vite les pages, et on voit comme un dessin animé.

Il n’y a pas de texte, seulement des images qui changent légèrement à chaque page pour donner l’impression du mouvement ; c’est le principe du cinéma et du dessin animé.

Il y avait aussi un livre en forme de théâtre : un kamishibaï il faut être au moins deux, un qui écoute l’histoire, un qui lit l’histoire derrière le théâtre.

C’est un livre où il y a une lettre ou un mot ou un chiffre par feuille reliée : le livre éventail.
C’est un livre où, quand on ouvre la page, un décor en 3 dimensions ressort : un livre pop-up.
Ce sont de petits livres en feutrine, en bois et en papier.
Ce livre est conçu pour des petits enfants ; il est court, en plastique ; c’est un livre de bain.

Dans l’espace Henri Pollès, tout en haut de la bibliothèque, on a vu une œuvre surréaliste :

la vélothèque.

L’art surréaliste, c’est un MOUVEMENT ARTISTIQUE (peinture, poésie, musique…) né au début du 20e siècle, utilisant le rêve et l’imagination plutôt que la réalité.

Ce mot a été inventé par le poète André Breton.

Jacques Prévert, Robert Desnos, Raymond Queneau sont des poètes qui ont participé au mouvement surréaliste, tout comme les peintres Miro et Chagall.

La vélothèque : un montage surréaliste imaginé par Henri Pollès. Elle est constituée de différents objets de récupération soudés entre eux.